d’après Mars de Fritz Zorn
Grenier Maurice Sarrazin

Mise en scène : Jean-Louis Hébré
Avec Olivier Jeannelle

Représentations

Zorn

Zorn c’est l’irruption dans une vie mortelle d’une menace de mort vivifiante !

Dès lors s’engage une course de vitesse haletante. Le cancer du corps met le jeune homme sur la voie de la guérison du cancer de l’âme que lui a légué son éducation.

Par le biais d’un travail analytique, Zorn se fait le vivisecteur de son propre cas. Et il entre en résistance, avec un esprit brillantissime, un humour « cosmique » ; avec rage aussi, en allemand Zorn veut dire « colère ». Sa révolte
personnelle, c’est le refus de tout un système qui pratique le culte de l’exclusion.

A quelques arpents de la mort, Zorn proclame encore : « … je n’ai pas capitulé, je me déclare en état de guerre totale »

 

La critique du Clou dans la planche