de Gilles Granouillet
Compagnie La Part Manquante
Mise en scène de Alain Daffos
Assistant à la mise en scène: Jean Stéphane
Avec: Muriel Benazeraf, Olivier Jeannelle, Sylvie Maury, Alain Daffos
Décor et scénographie : Isadora de Ratuld | Création Lumière : Didier Glibert | Création sonore : Aline Loustalot | Administration: Les Thérèses
Durée: 1h15
Ils nous ont aidé à réaliser Combat, ils nous ont fait confiance, un grand merci à eux:
Françoise Sarran, Patricia Delattre, Robert Simon, Jean-Louis Philispart, Augustin Couchoud, Christine Larroque, Annick Senat, Isabelle Perrier-Viala, Agathe Raybaud, Jeanne Astruc et Pierre Doury.
Représentations:
- 18avril – 22 avril 2017, Toulouse, théâtre du Pavé, 20h30
- 25 avril, Auch, Circa, Théâtre municipal, 21h
- 10 au 12 mai, Saint-Étienne, Théâtre Le Verso, 20h
Combat
« Combat est une tragédie contemporaine. Elle explore les vies fracassées, les êtres esseulés qui par dignité et abnégation sont prêts à tout pour sauver leur dignité. Je souhaiterais monter Combat avec un dispositif minimaliste. Révéler l’âme humaine dans son plus grand dénuement… Rendre la langue infiniment concrète, peser chaque mot pour les rendre bizarrement plus légers, plus riches d’infimes contradictions. »
Alain Daffos

l’ouvrier (Olivier Jeannelle)
« Dans une ville de banlieue ravagée par le chômage, un homme invite sa demi-sœur à venir fêter le départ à la retraite de sa mère, employée dans un abattoir. Le soir du retour, elle commet un crime de sang-froid sur un quai de la gare. Par amour, son frère décide alors d’endosser le meurtre pour lui éviter la prison…
Combat est un thriller qui nous parle de l’amour infini d’un frère pour sa sœur.

La soeur (Sylvie Maury)
C’est le parcours d’un homme qui cherche un souffle en endossant une faute qui n’est pas la sienne. C’est la lutte à mort pour le sens de le vie. J’ai voulu écrire Combat comme un thriller, un drame contemporain où le cloisonnement social joue pleinement son rôle. J’en arrive au mot que je voulais écrire depuis le début: »prolétariat »! Parce que c’est un plaisir de l’employer aujourd’hui: c’est un mot banni! Ne plus le nommer c’était faire disparaitre prolétariat, qui existe aujourd’hui comme hier, comment on s’en sort, comment on y reste, c’est ça aussi Combat. »
La critique du Clou dans la planche
Gilles Granouillet
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